Folie Furieuse RPG
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Un manoir... des gens... impossible de sortir ! Qui est là ? Que vous veut-on ? Impossible de sortir ! Allez-vous devenir fou ? Allez-vous résister à l'emprise de la folie ? Allez-vous découvrir qui est votre hôte ? Qui se cache derrière Monsieur Z ?
 
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 Chambre de Noé Sessry

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Noé Sessry
A abandonné le forum...
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Noé Sessry


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MessageSujet: Chambre de Noé Sessry   Chambre de Noé Sessry Icon_minitimeVen 15 Juin - 15:55

Noé cligna une nouvelle fois des yeux. Un certain malaise l’envahit un court instant, un mélange entre l’envie de vomir et une appréhension non maitrisée, rapidement dissipé lorsque qu’elle se redressa totalement dans le lit.

Mais qu’est ce que…

Perturbant. Elle fronça les sourcils. Voilà qu’il y a quelques minutes (enfin, il lui semblait. Elle n’avait pu vérifier, sa montre avait disparue…) elle était au stade, assise sur un banc à doucement récupérer ses forces, et maintenant, elle se trouvait dans une chambre. Inconnue. Même pas celle de Maggie ou d’un de ses amis, ni celle de son entraîneur.
Noé détailla la pièce avec attention. Elle était assez grande, du lit on voyait face à soi un mur gris souris, contre lequel était appuyé un bureau en bois clair dans la partie droite. Le reste était strictement vide et gris, jusqu’au mur à la droite du lit. Celui-ci était vert, et une armoire du même bois que le bureau y était installée. Un miroir en pied était posé à côté d’elle, puis à nouveau le vide. Le mur suivant –contre lequel était appuyé le lit – était lui aussi de ce gris à mi-chemin entre le sombre et le clair. Une petite table de nuit, avec trois tiroirs et une lampe posée dessus, toujours fait dans ce bois, tout comme le lit aux draps rouges. Peu après le lit, la porte. Le quatrième mur était blanc. Et uniquement blanc, mis à part le pouf vert posé par terre, identique à celui qu’elle avait chez elle et qui appartenait à son frère et elle… Elle passa sur ce détail, concluant qu’après tout, ce vert était à la mode et que ces poufs s’étaient vendus facilement… Même s’ils avaient trouvés le leur aux puces…
Mais le plus désagréable était surement le fait qu’il n’y avait aucune fenêtre et que seuls des halogènes éclairaient le lieu. C’était… Absolument inapproprié comme éclairage pour une chambre, bien trop froid et peu accueillant.

Noé se passa la main dans les cheveux, le regard un peu perturbé. Elle s’était peut être endormie ou évanouie dans les vestiaires et quelqu’un l’avait récupérée et amenée chez lui ? Mais dans ce cas, pourquoi ne pas avoir prévenu le Samu ou bien ses parents ? Après tout, son portefeuille était dans son sac… Etait-ce quelqu’un qui voulait trop bien faire, ou un malade mental ?

En tout cas, constata la jeune fille, elle avait apparemment été sommairement lavée. En effet, elle ne sentait plus la sueur et elle ne collait pas. On lui avait cependant laissé son grand débardeur de basketteur rouge et son short beige. Elle se pencha, ses nattes un peu défaites glissant en avant et venant frôler son nez, pour remarquer que sa paire de baskettes fétiche était bien posée au pied du lit. Un discret soupir de soulagement lui échappa.

Bon, tout ceci n’était pas vraiment très clair. Noé repoussa les couvertures avec détermination, bien décidée à comprendre tout ça, et se pencha à nouveau pour attraper ses chaussures, qu’elle enfila, avant de se pousser des deux mains sur le matelas pour se lever. Elle tourna sur elle-même, détaillant mieux encore la pièce. Elle était vraiment perplexe. Cependant elle ne toucha à rien, n’ouvrit pas les tiroirs du chevet ou les portes de l’armoire. Après tout, elle n’était pas chez elle. Elle n’avait pas le droit d’entrer dans l’intimité des gens ainsi.

Quoiqu’il en soit, pour éclaircir tout ça, il va bien falloir que je trouve qui m’a amenée ici et que je l’interroge. J’espère vraiment que ce n’est pas un taré… Br… Bon, voyons voir un peu ce qu’il se cache derrière cette porte…

Noé ouvrit la porte de la chambre et fit un pas dehors. Devant elle, un long couloir dans lequel régnait cette même ambiance froide, à mi-chemin entre l’hôpital glauque ou le vieil entrepôt. Elle leva un sourcil perplexe (« le proprio a vraiment des goûts, heum… étranges, dirons-nous »), et referma la porte derrière elle. En regardant à gauche, puis à droite, elle se demanda par où il fallait commencer.

Le mieux était de laisser tomber toutes ces portes et de trouver la pièce principale de l’endroit où elle se trouvait. Et pouvoir définir cet endroit –était-ce un immeuble ? Une maison ?-. Il lui sembla idéal de trouver la cuisine ou le salon. La lumière dans le couloir laissait penser qu’il ne devait surement pas faire nuit et que son… « hôte » ne devait pas dormir. Si l’on considérait que l’hôte était quelqu’un qui avait des coutumes « normales »…

Déterminée, la jeune fille avança sur le vieux tapis, se dirigeant vers le côté droit du couloir. En même temps, elle regardait tout autour d’elle, son sourcil perplexe se levant de plus en plus.

Indéniablement étranges comme goûts…

Les œuvres picturales accrochées au mur étaient toutes plutôt angoissantes. Noé les rangea tous dans les courants d’art abstrait et surréel (et elle se nota pour elle-même « complètement décalé et dingue. Il faut avoir des nerfs solides pour croiser tous les jours des tableaux pareils. »). Elle se repassa encore une fois la main dans les cheveux, écartant les quelques courtes mèches qui lui servaient de frange, en continuant à longer le couloir. Peut être que d’autres tableaux, d’autres courants, se trouvaient accrochés dans d’autres endroits du lieu ? En tout cas, elle était maintenant fixée : il y avait au moins un rez-de-chaussée et deux étages dans ce lieu, car elle venait d’arriver en face d’un escalier. Un petit courant d’air froid venait de l’escalier descendant. Noé en conclut qu’il devait surement mener vers un étage peut être plus petit, ou tout du moins, moins usité.

Et bien, allons-y gaiement ! Après tout, cet endroit est glauque, trop silencieux et absolument pas rassurant, je suis surement chez quelqu’un de très étrange (voir fou), mais après tout, qu’est ce que ça peut faire ? J’ai pas fait de la boxe depuis mes huit ans pour avoir peur d’un couillu en slip, n’est ce pas ?!

C’est avec un sourire pour elle-même qu’elle posa fermement la main sur la rambarde et commença à grimper d’un bon pas.
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